Vendredi dernier, nous étions chez les CM1-CM2 de l’Institution Jeanne d’Arc à Franconville dans le Val d’Oise.
La matinée commence avec les CM2 de Mireille. Nous lisons le journal des savoirs à plusieurs voix. Le vendredi, c’est le domaine des arts. Les élèves découvrent Auguste Renoir, sa vie, son œuvre et son arthrite. Le lexique nous explique ce que c’est que l’arthrite, une maladie aussi désagréable que dure à prononcer.
Dans la classe, chaque élève a un numéro, Ségolène les fait venir au tableau en piochant au hasard un bâtonnet de glace numéroté dans un pot. Il y a même des bâtonnets joker pour piocher la maîtresse, ou choisir un autre élève, héhé !
Auguste Renoir étant Limougeaud, nous filons dans le GPS pour visiter la ville. En quelques secondes, nous voilà au pied de la Cathédrale Saint-Étienne. Nous partons ensuite voir le Taj Mahal, sujet de leur dernière dictée. Un voyage éclair et dépaysant en ce matin frisquet de septembre.
C’est déjà la récré ! Les enfants sortent par petits groupes dans la cour. En route pour la classe de CM1 de Stéphanie. Ici aussi les élèves lisent le journal des savoirs chaque jour. Ils ont des dizaines de sujets à nous proposer : l’engrenage, le premier ordinateur, la danse moderne jazz, le big bang, Léon Marchand…
Ils nous posent quelques questions, par exemple « Combien vous êtes chez Beneylu ? ». Ils imaginent que nous sommes un demi million. On est 7.
Les CM1 sont en plein dans les planètes. Nous décidons donc de créer une pancarte sur le thème. Ils sont épatés par les ambiances décorées. Ça en jette ! Chacun propose une petite phrase, on s’enregistre et on publie quelques photos. La classe est lancée ! On prend les quelques minutes restantes pour présenter le moteur de recherche pour leurs exposés. Il ne cherche que dans une liste de sites, pertinents à l’école primaire, proposés par Beneylu.
Le midi, nous sommes invités en salle des maîtres pour déjeuner. Là-bas, une fake new circule au sujet de l’origine du nom « Beneylu ». On pense que cela vient de Benjamin de Bray et Lû… Presque ! Nous profitons de la pause pour dépanner quelques enseignantes et c’est déjà l’heure de partir.
Merci encore pour l’accueil et les délicieux cafés !
Lucile et Ségolène, qui ont trouvé une bonne raison de manger des glaces