Cela fait 20 ans que les échanges numériques ont intégré notre quotidien. Naturellement, les élèves ont suivi le pas et se parlent eux aussi sur internet, comme ils peuvent. Pourtant, bien correspondre en ligne ça s’apprend, se protéger sur internet ça s’explique, respecter autrui ça s’éprouve.
On pourrait continuer de fermer les yeux sur les expériences de correspondance en ligne des élèves, ou leur permettre de les vivre dans de meilleures conditions.
Chez Beneylu, on a choisi : proposer une nouvelle messagerie saine, qui vous aide à encadrer les élèves, tout en leur offrant la liberté de se parler.
Making-of !
D’ailleurs, comment communique-t-on en ligne entre 6 et 11 ans ?
Eh bien, les élèves communiquent comme ils peuvent. Pour savoir de quoi on parle, nous sommes retournés en classe discuter avec des enseignants et leurs élèves.
Voici les bonnes feuilles de notre enquête : des élèves s’écrivent via le tchat de leurs jeux vidéo, certains en pleine nuit, fréquentent les réseaux sociaux avant l’âge requis, confient un peu de leur vie à des adultes inconnus et fomentent des groupes de conversation avec leurs propres lois. Cette vie numérique livrée à soi-même porte en elle les préoccupations de l’époque, de l’ultra-connexion au cyber harcèlement.
Chez Beneylu, on a eu envie de proposer une alternative à la loi de la jungle, pour protéger les élèves quand ils ont besoin de se parler sur internet.
Alors, c’est quoi en 2025 une bonne messagerie des élèves ?
C’est une messagerie saine. Cette question, nous nous la posions déjà il y a 15 ans, lors de la sortie de la première “messagerie des élèves” de Beneylu School.
À l’époque, en 2009, les enseignants et leurs élèves l’attendaient avec impatience pour entamer leur correspondance scolaire par courrier électronique, dans un cadre sécurisé, chaleureux et adapté à l’école primaire. Ce qui inquiétait les adultes à l’époque c’était : les “images de fesses”, les fautes d’orthographe et la connectivité.
Depuis, le tactile a bouleversé les usages. Les smartphones, les tablettes, les réseaux sociaux et leur nouvelle grammaire de gestes l’ont emporté. La jungle s’est embrouillée et ce que l’on attend d’une bonne messagerie des élèves a changé.
Désormais, ce qui inquiète les adultes, c’est le cyber harcèlement, les dark patterns (scroll infini, effondrement de l’attention, pratiques addictives, exploitation masquée des données, …) et le temps d’écran explosif. L’ancienne « messagerie des élèves » ne suffisait plus à enseigner la correspondance en ligne d’aujourd’hui. Chez Beneylu, on s’est donc remis à l’ouvrage.
En 2025, une bonne messagerie des élèves est saine, éthique et conviviale. Elle plaît aux enfants, tout en les protégeant et en protégeant leur enseignant.
Saine, parce qu’elle n’incite pas les élèves à s’écrire quand ils n’en ont pas besoin. La nouvelle « messagerie des élèves » a une vocation pédagogique, volontairement calme, dotée d’outils de signalement accessibles et d’une modération pratique et raisonnable pour l’enseignant.
Éthique, parce qu’elle propose aux élèves de s’exercer à la correspondance en ligne avec leurs propres camarades, dans le cadre sécurisé de la classe. La nouvelle « messagerie des élèves » encourage l’esprit critique, le respect d’autrui et habitue les élèves à réfléchir avant d’envoyer leur message.
Conviviale, parce qu’il faut convaincre les élèves que c’est bien le meilleur endroit pour accueillir leur correspondance en ligne. Elle permet de s’envoyer des messages instantanés et des audios, parce que c’est comme ça qu’on communique aujourd’hui. Elle donne un sentiment d’émancipation, dans un univers supervisé que les élèves ont plaisir à s’approprier.
En 2025, une bonne messagerie des élèves, c’est une alternative crédible à la jungle.
Et donc, comment modérer une messagerie des élèves ?
Avec les bons outils. Dans la nouvelle “messagerie des élèves”, l’enseignant peut facilement jeter un œil aux échanges de sa classe. Des écrans pratiques lui permettent de balayer rapidement les conversations, juste pour vérifier que tout va bien. Dans quelques mois, le système signalera également automatiquement à l’enseignant les messages à revoir en priorité. Cette fonctionnalité est à l’étude.
La nouvelle “messagerie des élèves” permet aux élèves de signaler des messages à leur enseignant et ainsi bloquer préventivement la conversation. L’enseignant peut alors prendre les mesures qui lui semblent utiles pour protéger et éduquer : recadrer les échanges, discuter avec les concernés, supprimer le message pour donner une nouvelle chance… C’est vous qui savez.
Pour empêcher les débordements dans la nouvelle “messagerie des élèves”, les échanges se font dans des conversations un à un. Cela évite que des élèves montent un groupe dans le but d’exclure ou d’afficher un camarade. Lorsque vous en avez besoin (exposé, travail commun,…), vous pouvez créer une conversation à plusieurs, à laquelle vous participez. C’est vous qui veillez.
Ouvrir la “messagerie des élèves” c’est accepter le risque d’une transgression. Mais, rassurons-nous : mieux vaut que le message soit envoyé dans une messagerie de classe, surveillée et sans anonymat, plutôt que laissé sans traitement. S’exercer en classe et réfléchir ensemble aux conséquences, c’est ce qu’on fait à l’école et cela vaudra toujours mieux que de s’aventurer pieds nus dans la jungle. C’est vous qui chaussez.
Conclusion
La nouvelle « messagerie des élèves » de Beneylu School c’est :
- l’outil des 6-11 ans pour se parler au bon endroit, au bon moment, avec les bonnes personnes
- l’environnement chaleureux et facile à superviser pour expérimenter la correspondance
- l’alternative saine et respectueuse des enfants aux tchats non sécurisés, bourrés de pub et dédaigneux du RGPD
- le garde-fou au cyber harcèlement, pour grandir bien dans ses baskets.
Venez l’essayer dès le 31 juillet 2024 sur Beneylu School !